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Synopsis
Les recherches réalisées auprès de la population vivant avec un traumatisme cranio-cérébral (TCC) reconnaissent l’importance du soutien social sur l’inclusion et la participation sociale. Ce soutien est d’autant plus crucial que ces personnes sont à risque d’exclusion et de rupture de services dans la communauté vu la complexité des enjeux vécus (ex. : changements des habiletés cognitives, difficultés relationnelles, dépendances, risques d’abus).
Comment favoriser une continuité de services communautaires qui soutiennent l’inclusion et la participation sociale à la suite du traumatisme cranio-cérébral ? La perspective des personnes proches aidantes.
Valérie Poulin, UQTR

Mes travaux portent sur les thèmes suivants : 1) réadaptation et soutien à l’inclusion sociale des personnes vivant avec des incapacités cognitives et/ou en situation de vulnérabilité; 2) transfert, application des connaissances et évaluation de la mise en œuvre de pratiques exemplaires en réadaptation et intégration sociale; 3) éducation et soutien des proches aidants, notamment auprès de personnes ayant des incapacités physiques et cognitives.
Résumé du projet de recherche
Plus de 130 000 Canadiens vivent avec les conséquences d’un traumatisme cranio-cérébral (TCC), qui est l’une des principales causes de limitations fonctionnelles à long terme. En vue de les aider à reprendre leurs activités et s’engager dans la communauté, d’importantes ressources pour leur réadaptation et le soutien à la participation sociale sont déployées pendant plusieurs mois, voire plusieurs années.5-7 Malgré cela, plus de la moitié des personnes rencontrent des obstacles à long terme à la suite du retour dans la communauté.8 Plusieurs vivent des ruptures relationnelles, la perte d’emploi, des pressions financières ou encore des défis à trouver un nouveau milieu de vie approprié. Comment mieux soutenir leur inclusion et leur participation sociale ? Et si on agissait en amont, sur nos environnements sociaux, afin de créer des communautés plus inclusives où ces personnes se sentent accueillies et soutenues ?