L’avenir du roman policier (polar) au Québec

Les auteurs devront continuer à explorer de nouveaux thèmes et à aborder des problématiques sociales et politiques actuelles dans leurs œuvres pour maintenir l’intérêt du public. La création de nouveaux prix littéraires et l’adaptation des œuvres pour la télévision et le cinéma continueront de contribuer à la croissance et à la reconnaissance du genre.

Synopsis

Norbert Spehner souligne que le roman policier au Québec a connu une croissance constante au cours des dernières décennies et a été largement reconnu en tant que genre littéraire à part entière. Selon lui, l’avenir du roman policier au Québec est prometteur et il prévoit une continuité dans la production et la reconnaissance du genre. Cependant, il note également que le genre évolue avec le temps et qu’il doit continuer à se renouveler pour rester pertinent et captiver les lecteurs. Il pense que les auteurs devront continuer à explorer de nouveaux thèmes et à aborder des problématiques sociales et politiques actuelles dans leurs œuvres pour maintenir l’intérêt du public. Enfin, il estime que la création de nouveaux prix littéraires et l’adaptation des œuvres pour la télévision et le cinéma continueront de contribuer à la croissance et à la reconnaissance du genre.

Épisodes

Le roman policier au Québec et ses origines

Norbert Spehner explique les débuts du roman policier au Québec comme le résultat de l’influence de modèles français et américains, combinée à des réalités politiques et socioculturelles particulières au Québec de l’époque. Concept : Bernard AndrèsRéalisation : Pierre FraserProduction :…

Le chercheur de trésors (Philippe-Aubert de Gaspé fils)

Spehner souligne que « Le chercheur de trésor » a été publié à une époque où la littérature québécoise était encore en train de se développer. Les Québécois cherchaient des modèles littéraires pour établir une littérature nationale et les romans de Philippe…

Le roman policier vs le roman d’aventure

Alors que le roman policier est un genre qui se concentre sur la résolution d’un mystère ou d’un crime, souvent à travers une enquête menée par un détective professionnel ou amateur, en revanche, le roman d’aventure est un genre qui…

Les fascicules ou le succès du roman policier

Les fascicules ont contribué au succès du roman policier en offrant aux lecteurs des histoires accessibles, régulières et à un prix abordable, ainsi qu’en permettant aux écrivains de publier leurs histoires en feuilleton pour fidéliser leur public. Les fascicules ont…

L’agent IXE-13

La lecture des romans de Pierre Saurel intitulés l’Agent IXE-13 nous plonge dans un monde étrange et captivant, où l’imagination se confond avec la réalité et où le mystère se cache à chaque tournant. Les aventures de cet espion mythique,…

Le désintérêt pour le roman policier au cours des années 1960-70

Le déclin du roman policier au Québec dans les années 1960 et 1970 s’explique par plusieurs facteurs, dont l’influence de la Révolution tranquille, la domination de la littérature engagée, la censure et la domination de la littérature européenne. Concept :…

Le succès du roman policier (polar) au Québec

Les auteurs de romans policiers québécois ont souvent participé à des événements littéraires tels que des salons du livre, des lectures publiques, des conférences et des festivals de littérature, ce qui a permis de promouvoir le genre et de développer…

La réussite du loisir des personnes ayant des besoins particuliers

Jacques Laberge, ARLPH 03

Résumé

De manière générale, les gestionnaires qui évoluent dans le milieu du loisir savent que l’organisation d’une activité de loisirs est une tâche qui nécessite une analyse complexe et qui doit tenir compte d’une variété de facteurs. Non seulement faut-il tenir compte des tendances actuelles, mais également du moment où l’activité sera offerte, l’endroit où elle se tiendra, et des coûts demandés aux participants. La complexité de cette analyse est toutefois accentuée lorsqu’il s’agit d’activités offertes et adaptées aux personnes handicapées.

L’article intégral sera disponible le 15 avril 2023

Inclusion sociale dans les loisirs et la culture

Champ d’intérêt / Domaine d’expertise
Les recherches d’Hélène Carbonneau portent sur le développement du loisir en milieu institutionnel, tant pour les personnes âgées que pour les personnes vivant avec un handicap. Elle a ainsi su développer un univers de recherche s’inspirant de la psychologie positive pour aider les ainés et les personnes vivant avec un handicap à maintenir et améliorer leur qualité de vie par le biais du loisir et d’activités culturelles valorisantes.

Vidéos liées à l’article

Favoriser l’inclusion et la participation sociale
dans les loisirs et la culture

Résumé

Est-il possible de faire en sorte que tous puissent participer d’une façon significative aux loisirs et à la culture, peu importe qui ils sont et peu importe le type de handicap ? C’est le défi que relève l’équipe du Groupe interdisciplinaire de recherche sur l’expérience inclusive de loisir qu’a fondé la chercheure Hélène Carbonneau (UQTR) avec une vingtaine de chercheurs et de partenaires du milieu de la pratique dont « La Fenêtre – Centre d’immersion aux arts » de Trois-Rivières. Cet organisme dédié à la culture s’active à permettre à des personnes vivant avec des limitations ou enjeux de santé de découvrir leur potentiel créateur. Du théâtre à la peinture en passant par la poésie, plusieurs formes artistiques sont offertes pour permettre aux participants de s’exprimer au travers de l’art. Les ateliers sont animés par des artistes professionnels qui viennent transmettre leur passion. Quand on fréquente La Fenêtre, on est vite conquis par l’atmosphère collégiale qu’on y retrouve. Rapidement, on oublie les handicaps pour apprécier le talent de chacun. Voilà La Fenêtre, un lieu où chacun peut mobiliser sa créativité et son plein potentiel au travers de pratiques artistiques valorisantes.

L’article intégral sera disponible vers mai 2023

La Fenêtre – Centre d’immersion aux arts

Synopsis

Est-il possible de faire en sorte que tous puissent participer activement et/ou passivement aux loisirs et à la culture, peu importe qui sont-ils et peu importe le type de handicap ? C’est le défi que relève l’équipe de la chercheure Hélène Carbonneau (UQTR) et « La Fenêtre – Centre d’immersion aux arts » de Trois-Rivières.

Hélène Carbonneau, UQTR

Résumé du projet de recherche

Est-il possible de faire en sorte que tous puissent participer d’une façon significative aux loisirs et à la culture, peu importe qui ils sont et peu importe le type de handicap ? C’est le défi que relève l’équipe du Groupe interdisciplinaire de recherche sur l’expérience inclusive de loisir qu’a fondé la chercheure Hélène Carbonneau (UQTR) avec une vingtaine de chercheurs et de partenaires du milieu de la pratique dont « La Fenêtre – Centre d’immersion aux arts » de Trois-Rivières. Cet organisme dédié à la culture s’active à permettre à des personnes vivant avec des limitations ou enjeux de santé de découvrir leur potentiel créateur. Du théâtre à la peinture en passant par la poésie, plusieurs formes artistiques sont offertes pour permettre aux participants de s’exprimer au travers de l’art. Les ateliers sont animés par des artistes professionnels qui viennent transmettre leur passion. Quand on fréquente La Fenêtre, on est vite conquis par l’atmosphère collégiale qu’on y retrouve. Rapidement, on oublie les handicaps pour apprécier le talent de chacun. Voilà La Fenêtre, un lieu où chacun peut mobiliser sa créativité et son plein potentiel au travers de pratiques artistiques valorisantes.

Logements adaptés pour une clientèle DI-TSA

Synopsis

Offrir des logements adaptés à une clientèle atteinte de déficiences intellectuelles et/ou de troubles du spectre de l’autisme relève parfois du parcours du combattant. L’aventure de l’équipe du projet J’ai mon appart’ de Shawinigan est un exemple en la matière et met en lumière les défis à relever et comment les relever.

J’ai mon appart’ est un organisme à but non lucratif de Shawinigan qui veut permettre à des adultes vivant avec une déficience intellectuelle ou un trouble du spectre de l’autisme d’avoir leur propre « Chez soi » tout en recevant un accompagnement répondant à leur besoin d’autodétermination. Créé dans le cadre du programme AccèsLogis (volet III) de la Société d’habitation du Québec, ce projet d’habitation de 12 logements à prix modique leur permettra  de vivre en appartement supervisé, de bénéficier de services adaptés à leurs capacités, et d’être des citoyens à part entière de leur communauté

Le projet d’appartements supervisés J’ai mon appart’ a été réalisé grâce à l’implication des gouvernements fédéral et provincial, de la ville de Shawinigan et de toute une communauté qui s’est mobilisée afin d’accueillir ces nouveaux citoyens.

Martin Caouette, UQTR

Résumé du projet de recherche

Dans le cadre de mes travaux à la Chaire Autodétermination et Handicap, trois axes de recherche sont privilégiés : l’habitation, les activités socioprofessionnelles et communautaires, le milieu scolaire. Cet article mettra donc en lumière l’autodétermination des personnes en situation de handicap, en particulier celles présentant une déficience intellectuelle ou un trouble du spectre de l’autisme, ainsi que les pratiques des intervenants qui les accompagnent.

Vidéos de cette série documentaire